Permagenèse approximative

C'est la période de l'année propice au gavage. ZebTest est heureux de vous présenter en avant première, le test tant attendu par la communauté des gamers hardcore: le bien nommé Call of Duty dans sa mouture V,5. Sans surprise On ne s'attendait pas à une refonte complète du moteur 3D, on aurait pu, mais la licence du jeu s'auto-porte, pas besoin d'en faire trop pour les cochons. Pour cette épisode V,5, peu d'informations avaient fuités. Mais les bonnes surprises sont au rendez vous. Son prix déjà, va vous fumer avant même que vous aillez pu prendre le paddle en main. 184% d'augmentation par rapport à la dernière mouture. Un "One shoot" tarifaire en trompe l’œil puisque les pass-saisons seront indexés aux ratio-to-kill. Il fallait s'y attendre votre carte bleu ne bénéficiera pas du bonus départ différé: les débits seront immédiats. Dès les premières minutes de jeu, l'ambiance est immersive bien que toujours trop scriptée. La pris

Dans la série jus de cervelle, je vais essayer de mettre un peu d'ordre dans le chaos. J'ai pas la prétention de vouloir ranger le foutoir général rassurez vous. Comme d'habitude, avant de raconter des conneries plus grosses que moi, j'ai fais une petite lecture en diagonale sur la toile des définitions possibles du mot. Histoire de voir si il est bien rangé dans ma tête. Bien rangé, je ne sais pas, mais bien présent indubitablement. Donc le chaos ça semble être le truc avant le Big-Bang, ou plus communément un assemblage sans queue ni tête que personne ne semble vouloir avoir dans son salon. Un truc confus au point de ne pas le rendre vraiment identifiable. Bref le chaos, c'est un peu le bordel à expliquer, du coup on peut dire que le chaos c'est le bordel. En dehors des scientifiques qui s'éclatent à vouloir le décrire comme des sales gamins faisant une bataille de crottes de nez, personne raisonnablement n'aime le chaos. Ou alors des gens c

L'Zeb éto pas bien d'in ch'tête inch momin, i m'a di: prend l'bousin, si t'a invi d'parler aux gins t'prive po, vl'à l'mulot... J'avo pas trop l'habitud' d'l'internet ed' tout ché machins électroniq', mais pour l'coup j'va quin mêm' écrire queq'chose. L'Zeb ché s'voisin, un l'aimo bien ichi, mais j'sais pas trop s'que vous avez mi d'in ch'têt' ed'puis queq'temps, i décaroche. Chi tu vins faire un tour ichi, ach'gardin ça va toudi êt' clair à tes zieux. Ché pu un gardin qu'il a, chez un terrain vagu'. Gardin bio, par chi, gardin bio par là, t'in au final t'a pu q'des mauvaich'herbes. Comme ché vous qui lui avo mi ch'brin d'in l'tête les hippies, j'va quin mêm' vous dir' à vous zot' ch'que j'in pense ed'tout cha. L'Zeb il est d'el'ville: faut po li mettre ché truc din l'

Avant d'ouvrir les ordinateurs et vous faire cracher vos neurones sur du code, on va rapidement survoler le "pourquoi" de la chose. Programmer c'est compliqué à ce que l'on en dit. Sauf qu'un bon développeur est forcément un gros paresseux. En gros, programmer, c'est apprendre à se compliquer la vie un poil, pour pouvoir buller un max. D'entrée de jeu, paf ! un paradoxe. D'autant que c'est fastoche quand même si on ne cherche pas à intégrer un programme spatial. Programmer c'est vachement utile, vous le faites d'ailleurs dès que vous ouvrez un œil le matin, sauf que vous appelez ça: faire du café, acheter à bouffer, zieuter facebook, ou lire la presse. Pour ce faire, vous établissez des algorithmes. Un algorithme est juste une cheminement de pensée, la mise en application d'habitudes bien ancrées, de brefs protocoles de réflexions, la recherche du truc qui va faire qu'on ne sera plus emmerdé de faire ça à chaque fois.